Histoire du personnage :
NOM : Anderson. PRÉNOM(S) : William. Je vous laisse décider si vous souhaitez ou non lui donner un second prénom. ÂGE : Il va bientôt sur ses 24 ans, il est né le 10 octobre 1995. LIEU DE NAISSANCE : Il a poussé son premier cri à Doncaster, une ville britannique située dans le Yorkshire du Sud. ORIGINES : William est britannique par sa mère, mais aussi français par son père. STATUT CIVIL : Il est en couple avec sa petite amie depuis plus d'un an maintenant. C'est un record pour lui, qui avant elle, collectionnait surtout les relations d'une nuit. ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuel, pas de jaloux comme ça. EST-IL UN HABITANT DE FREDELIG ? : Oui. SI OUI, QU'EST-CE QUI LUI A DONNÉ ENVIE DE VENIR S'Y INSTALLER ? Il a reçu une bourse pour venir jouer au football dans la nouvelle université, et fasciné par ce pays qui lui semble si mystérieux, il n'a pas hésité deux fois avant de prendre son billet d'avion. Je vous laisse décider si vous voulez qu'il suive une filière sportive à l'université, ou si au contraire il n'en fera qu'en loisir, préférant se consacrer à une autre spécialité. GROUPE : It's alright. Il vient d'une famille plus que traditionnelle, justement, où tous les gros clichés sont permis : la mère dans la cuisine et le père de famille, toujours viril, alors il considère tous ces changements sociétaux comme une excellente chose.
Caractéristiques du personnage
Il s'agit d'un scénario. Il est l'ancien petit ami de mon personnage, Bastien L. Teissier (Harry Styles).
William et Bastien se sont rencontrés en France, lors d’une soirée parisienne plus qu’arrosée. Le courant est tout de suite passé entre eux, si bien que les deux garçons ont fini dans le même lit. Lorsqu’il s’est réveillé le lendemain matin, Bastien était seul. Il aurait pu ne pas s'en formaliser (après tout, ils ne s'étaient rien promis), mais voilà, se sentir utilisé de la sorte ne lui plaisait pas. Il n’était pas un habitué des coups d’un soir, alors cette première expérience lui laissait un goût amer. Il ne s'est pas gêné pour le lui faire comprendre quand ils se sont recroisés dans une rue parisienne. William a fait celui qui s’en foutait et qui couchait à droite à gauche, sans attache, mais en réalité, une telle réaction l’a blessé.
Bastien a compris ce qui se passait lorsqu’il a fait part de sa mésaventure à leur ami commun, Paco. Celui-ci connaît William depuis qu’ils sont gosses. Il a alors expliqué à Bastien le calvaire que vivait William avec son père homophobe ; il fait mine d’être intéressé par les femmes pour ne pas subir ses représailles, alors qu’en réalité, il est intéressé autant par un sexe que par l’autre. Durant toute son enfance et son adolescence, William s’est pris des réflexions sur son allure frêle et ses traits efféminés. Seul son amour pour le football lui a permis de se racheter un peu aux yeux de son paternel. Alors, quand celui-ci lui a demandé de s’intéresser de plus près à la fille de l’un de ses collègues, il l’a fait sans trop se poser de questions, dans l’optique d’être tranquille. Il s’est mis en couple avec elle sans même ressentir la moindre attraction, et voilà qu’il s’est bientôt senti pris au piège.
Ça a été tout le contraire quand il a rencontré Bastien. Toute la soirée, tous les deux avaient été attirés l’un par l’autre, comme des aimants. Après les explications de Paco, Bastien a accepté de revoir son jugement et de confronter William pour discuter de la situation de manière plus posée. Ils sont devenus amis. Néanmoins, l’un plaisait à l’autre et le ressentait. Au fil du temps, Bastien est devenu l’amant caché de William. Celui-ci lui a promis qu’il aurait un jour le courage de quitter sa petite amie et d’affronter son père ; néanmoins, ce jour peinait à arriver, et Bastien, en amoureux blessé, a préféré couper court à la relation.
Aujourd’hui, Bastien a saisi l’occasion de se rendre à Fredelig pour panser ses blessures et recommencer sa vie ailleurs. Il ne se doute pas un seul instant que William a obtenu une bourse sportive dans la même université. Il ne s’attend pas à le voir arpenter les mêmes ruelles norvégiennes, et qui plus est, toujours en compagnie de sa petite amie – car il n‘a pas encore réussi à la quitter, et elle a bien entendu insisté pour l’accompagner dans cette nouvelle ville.