The holiday Scam

Fils d’un des Imorans du conseil royal, Ulrich est issu d’une famille prestigieuse d’Ij?ba et a, de fait, reçu une sévère éducation, très pieuse. Il en est rapidement venu à détester ses parents et la société et devenir ce que le monde actuel appellerai un « hippie ». Oui, notre Ulrich est un rebelle de la première heure, sans pour autant renoncer à son petit confort personnel - faut pas pousser mémé dans les orties non plus - : il vit depuis toujours dans la demeure familiale mais ne suivra pas son père dans la prestigieuse charge au service de la Reine. Lui, il souhaite être le poète le plus reconnu de sa génération, dont les scribes conserveront jalousement les écrits.

Karim estime qu'il a saisi les bonnes opportunités au bon moment. Né dans un milieu banal, de parents banals, avec une enfance puis une adolescence banales, Karim a toujours voulu se démarquer des autres, être sur le devant de la scène, sous le feu des projecteurs. Internet lui en a donné la possibilité. Influenceur précoce parti de rien, on ne retrouve cependant rien de ses vidéos embarrassantes de 2011. Il a tout fait pour être reconnu à sa juste valeur : musculation, soins, sports à tout va, pranks à outrance, négligeant au passage sa scolarité... il est autant détesté qu'aimé sur la toile.

La croisière faisait partie d'une des nombreuses blagues qu'il a fait subir à son frère et d'un choix idéal et à moindre coût pour son prochain vlog (même s'il ignore encore où se trouvent les Bermudes). Lorsque le Capitaine s'est taillé sans rien dire, celui-ci a vraiment cru que Karim avait payé Crook pour ce prank. Si seulement...

Ijoba est loin d'être un lieu digne des bisounours. Si l'ordre règne en apparence, certains personnages se font un plaisir de rappeler leur existence aux habitants de l'île. Wura en fait partie. Plus encore : elle est leur cheffe. Reine incontestée des voleurs, habile manipulatrice des lames et des esprits, elle s'empare des richesses comme des informations dans l'ombre des villages, possédant des lieutenants et des sbires partout (même si elle a tendance à exagérer l'importance de son réseau...). Considérant que la famille est une faiblesse, elle n'a pas d'attache, que des conquêtes, des outils et des cibles, et vit respectée par la confrérie dont elle est à la tête.

C'est dans les rues d'Isokan qu'elle a grandit, abandonnée par ses parents, et entre les arbres d'Aisiki qu'elle s'est forgée. C'est enfin dans la forêt enchantée qu'elle a bâti sa discrète forteresse, à l'écart des désirs et préoccupations des autres Ijobiens.

Championne du monde de bowling indétrônable depuis 2017, Brooke a grandi sous le soleil de la Floride, à Jacksonville. Enfant curieuse dès son plus jeune âge, elle n'a pas arrêté de pratiquer divers sports, au grand damn de sa mère et unique parent, géologue spécialisée dans l'étude des volcans, qui aurait bien voulu que sa fiche ne se contente pas de la SVT comme seul bagage scientifique. Elle n'a jamais vraiment su quoi faire de sa vie, ayant pour seules expériences professionnelles la récolte des fruits à chaque saison et l'aide qu'elle fournissait bénévolement dans de nombreuses associations (dont 6 mois en Uruguay à s'occuper de tortues). Puis, à 21 ans, elle s'est découvert une passion pour le bowling. Une passion brûlante. Depuis ce moment, elle s'est entraînée sans relâche pour finalement gagner le podium puis la première place, sur laquelle elle se maintient depuis 2017 !

Végétarienne convaincue, elle lutte pour les dauphins, la planète et les générations futures avec foi (mains est incapable de renoncer aux week-ends à la plage en Floride). C'est d'ailleurs un meeting écologiste qui l'a faite venir à Boston, où elle a gagné un billet pour la croisée lors d'une tombola de quartier organisée sur un marché bio.

Elle a toujours été forte, et tout lui a toujours réussi. Elle était parmi les meilleurs durant le service militaire, et a poursuivi ses études ensuite. Très ambitieuse, elle a toujours voulu prouver sa valeur.
A dix neufs ans, elle eut une fille par accident et a été extrêmement dure avec elle tout le long de sa vie. Quand sa fille est devenue prêtresse, obtenant tout un tas de privilèges du fait de son statut, Zaltana l'a à moitié reniée en affirmant que c'était une profession de flemmards et d'opportunistes.
Lors d'une mission, Zaltana s'est faite attaquer par un ours, et est parvenue à le tuer et à survivre... mais avec quelques morceaux en moins (elle y a laissé sa jambe droite). Déjà connue pour son savoir faire et son caractère, elle est devenue une légende vivante après cet exploit (elle porte les griffes, les dents et la peau de l'animal en guise de trophée)
Sa fille eut un enfant très tôt : Nashoba. Etant très prise par sa profession, la prêtresse ne s'occupait pas beaucoup de son fils. C'est donc Zaltana qui s'occupa de l'éducation du garçon malgré son dédain pour sa propre fille. Même si elle l'a élevé durement, elle s'est beaucoup attachée à lui.
A Oluh, on l'appelle "la vétérante" parce qu'elle a survécu à bien plus que la plupart des habitants d'Ijoba. Certains disent qu'elle doit être protégée par les dieux pour avoir survécu aussi longtemps. D'autres affirment que c'est sa force mentale hors du commun qui lui a permis de rejeter la mort autant de fois.

Lautaro est le fils de deux immigrés chilien de culture mapuche, et ce n’est pas arriver à New York qui leur a fait oublier leurs traditions et leurs origines. Leur enfant porte donc le nom d’un révolutionnaire mapuche, a grandi bercé par les contes et légendes de ses ancêtres, et jusqu’à tard dans son enfance, sa plus grande peur était la chancla de sa mère. Il portera cet amour pour la culture mapuche jusqu’à aujourd’hui, et l'étendra aux autres cultures natives américaines.

Moins de deux ans après la naissance de son petit-frère, sa mère perdit la vie.

A l’école, il était dans la moyenne. Mais il se hissa parmi les premiers bulletins au lycée. S’il y’a quelque chose qui ne lui fait pas peur, c’est travailler dur, surtout si c’est pour prouver à tous les white people, et à lui-même, qu’il pouvait réussir. Être mapuche dans une institution majoritairement blanche n’a pas été de tout repos.

Lautaro fut accepté avec bourse à une très bonne université, mais une année seulement après cela, son père fait une crise d’hypoglycémie. Le diagnostic ? Le diabète. Les factures se font lourdes, et il se voit contraint de devoir arrêter les études et se mettre à travailler pour aider à payer.

Il arrive sur le wreck avec son jeune frère, Nahuel, après que son père ait vivement insisté pour qu’il prenne des vacances.

Anecdote: un jour, Lautaro trouve un livre sur les arts natifs américains. Il essaye donc de s’initier à tout. Il y trouve un chapitre sur d’anciens bouts de tissus brodés découvert à Terre-Neuve, dont l’art est différent de toutes les reliques archéologiques trouvées sur place. Il intrigue les archéologues. Ceux-ci se penchent dessus et réussissent à déceler les grandes lignes du processus de sa fabrication, aussi renseignés dans le livre. Et c’est ainsi qu’il se retrouve à broder un jaguar sur un mouchoir pour son petit-frère, dont ce dernier ne se séparera plus.

Luxu est né le 22 mai - il est issu d'une famille d'Arakunrin - très tôt dans son enfance il sera pris en charge et s'entraînera aux côtés d'Ephemer afin d'être à la hauteur lors du serment - Luxu croit beaucoup que la Reine est une déesse et qu'il faut être fidèle à elle et aux cultures - il sera souvent avec son frère afin de le réconforter - le jour de la cérémonie son frère lui donnera un collier avec un pendentif en forme d'étoile - suite à ça ils ont été séparés (pour ce passage là vous êtes totalement libre de dire ce qui vous semble le mieux même avant vous pouvez parfaitement rajouter des choses mais en respectant l'histoire de son frère)

Son histoire n’a absolument rien d’extraordinaire et ça l’horripile au plus haut point. Au lieu de continuer à s’offrir des fleurs et à glousser comme des idiots, ses parents n’auraient pas pu mourir d’un mystérieux incendie quand il était bébé, tiens ? XX Il ne se fait jamais beaucoup d’ami au collège et au lycée et ceux-ci ne sont jamais des mecs cools, mais il ne subit pour autant jamais aucune brimade. C'est vraiment trop demander, des événements dramatiques ? XX Pour fêter son diplôme et la dernière promotion de sa mère, son père leur fait la surprise de les embarquer pour une croisière. Une croisière ? Sérieux ? Il déteste le soleil ! Sa seule consolation est de naviguer dans le triangle des Bermudes : avec un peu de chance, ils subiront un terrible naufrage et seront coincés sur une île mystérieuse où l’aventure de sa vie lui sera enfin révélée XX IL EST DEVIN ! IL EST DEVIN ! SON MOMENT DE GLOIRE EST ENFIN ARRIVÉ ! Bon, passé le moment de jubilation intérieure qu’il a du cacher sous des airs sombres, torturés et énigmatiques, il est vite déçu de voir qu’au lieu de former des camps rivaux qui s’affrontent à coup d’arc et de pierres pointues, tout le monde s’entraide tranquillement et partage les corvées quotidiennes. Ses mangas et ses jeux vidéo lui auraient donc mentis ? XX Quand les natifs viennent les chercher, il reprend espoir. Ses parents décident de rester au campement mais il insiste pour pouvoir partir au palais, parce qu’il sait repérer une avancée cruciale de l’intrigue du Grand Livre De Sa Vie quand il en voit une. Ceux-ci acceptent à condition qu’un voyageur plus âgé garde un œil sur lui, ce qui est loin de l’enchanter, mais tant pis : son destin est enfin en marche !

Précisions : Entend parler de la légende de l’Enfant de la Lune quand il arrive au palais et depuis, s’imagine qu’il est l’élu de la prophétie – Croit au pouvoir des pierres et interroge régulièrement son pendule en quartz rose – Sa maman dit qu’il est un peu rêveur mais que c’est un bon garçon

Natif de Boston, il y passe sa vie. Grandit dans une famille de classe moyenne, un gamin lambda, pour une enfance lambda. ? Pas d’argent pour se payer l’université, et ses parents qui divorcent : enfant unique, il fait des allers-retour entre les deux, avant de se trouver un petit boulot et un appart. ? Au bord de la misère, et à deux doigts de se retrouver SDF, il se met à dealer sévère pour un gang local, qui a besoin de sa tête de voyou pour faire régner la loi. ? Peu avant son depart pour l’île, une descente de flics se passe mal, très mal : il est accusé d’avoir tué un policier (n’était que présent sur la scène du crime, mais la solidarité n’est pas le mot d’ordre des gangs), et est poursuivi. L’étrange annonce lui a permis de s’échapper, les mesures de sécurité étant sévèrement laxiste sur l’identité des passagers (un faux passeport et c’est bouclé). ? Il a toujours peur qu’on le retrouve.

Il est né il y a 19 ans, il est le plus poche voisin de Karah. Il est le fils unique de ses parents qui le couvent un peu trop.
- Après son quatrième anniversaire, il se lie un peu plus plus à Karah, un enfant de son âge, c’est rare.
- Il suit la formation pour être un commerçant (ce qu’il vend ? Je vous laisse le choix)
- Il a déjà embrassé une fille et un garçon (en vérité, j’ai déjà insinué irp que c’était Karah, mais il a peut-être d’autres personnes à son tableau de chasse)
- Il rentre dans la guilde assez tôt, ce dont il est fier. Il envie un peu Lenorian et les commerçants au somment.

À vous de voir quels sont les épreuves et exploits qui l'ont menée jusqu'à la reconnaissance des siens ainsi qu'à sa place dans le Conseil et près de la royauté. C'est une femme influente mais qui en a pas mal bavé au début. Je la vois bien fille d'un.e érudit.e ou d'un.e haut-placé.e qui ne se serait pas vraiment occupé.e d'elle pour X raisons, la poussant indirectement à se démerder pour atteindre l'excellence. Elle a du respect pour les artisans, agriculteurs et cie, mais elle sentait bien que c'était en galons qu'elle voulait grimper, pas en bottes de foin. Une place dans la hiérarchie et le plus haut possible, ah çà oui !

Sa vision sur les étrangers ainsi que la religion est comme vous le sentez, en sachant (petit détail) qu'elle a choisi Adehun comme dieu protecteur pour Thadas.

Autre petit détail : Thadas n'a pas connu ses grand-parents

Note : Vous pouvez très bien décider qu'iel soit une fille, l'avatar proposé est surtout là pour donner la vibe.

Shirall faisant partie de la Confrérie, il vous faudra lire le post qui explicite son fonctionnement juste ici : https://the-holiday-scam.forumactif.com/t247-04-univers-groupes-et-organisations#6973.

La famille de Shirall est implantée dans la Confrérie depuis plusieurs générations... À part ça, pfiou, tout est libre ! Les épreuves traversées, ceux qui l'ont accompagné ou rejeté... Tant que c'est okay par rapport aux particularités de la Confrérie, gogogo. À noter qu'iel apprendra le métier de tatoueur au sein d'Arakunrin et s'y montrera assez doué, étant habile de ses mains. Iel rencontrera Tùpka à Isokan mais il se pose régulièrement aussi bien à Isokan qu'à Oluh pour affaires.

I?an est né avec la bénédiction d’Oke, pourtant dieu extrêmement impopulaire. Pour le moquer, son voisin détestable, le petit Ailo, disait que ses parents avaient pris la fuite en voyant son visage à la naissance. Loin d’être laid, il n’en reste pas moins qu’I?an fait peur. Dès l’enfance, ses traits contractés lui ont valu d’avoir une ride du lion plus prononcée que chez certains adultes… Sourcils froncés, cou enfoncé, roulage de mécaniques mécontent, I?an n’a jamais eu la fibre sociale et peut compter ses amis sur les doigts d’une main (et parmi eux qui sait s’il n’y en a pas qui sont là de force ou de peur).

Terreur du hameau pendant l’enfance, ses premières défaites au combat lors de la Formation ont ébranlé sa maigre confiance en lui, le laissant lui, moche et méchant, mais surtout tout seul dans son coin. Plus petits et trapu que la moyenne, il connaît cependant une poussée de croissance fulgurante à l’âge de 17 déluges, trop tard cependant pour faire étalage de ses talents devant ses anciens adversaires. D’abord maladroit, parce que passer d’1m50 à presque 2 mètre en l’espace de quelques années, c’est pas évident, ce qu’il a cru être une force invincible lui vaut de se prendre absolument tous les linteaux de porte. Et ça fait un mal de chien.

Peu confiant, I?an passe le début de son âge adulte chez sa mémé, celle qui l’a élevé depuis que ses parents ont disparu (son récit peut différer de celui du petit voisin vis-à-vis de ça, on vous laisse décider !), mais le fait est que son manque de confiance se mue peu à peu en une excuse pour ne pas aller au champ, au bois, ou à la chasse.

Un jour, exaspérée, sa mémé menace de le mettre dehors pour de bon s’il ne ramène pas des coquillages. A raison d’une heure de trajet à pied, il s’est ainsi trouvé un emploi de jardinier chez le mari de L?wa Akata. Forgé par la nature, mais aussi le travail et la vie, cette dernière ne manque pas de reconnaître chez lui les qualités nécessaires à un parfait pion et après une année d’observation, lui propose de rejoindre la Confrérie.

S’il était un temps ravi de cette reconnaissance, obtenue à la sueur de ses muscles fichtrement développés à présent, il a rapidement déchanté, lorsqu’il a compris qu’être apprenti à la Confrérie signifiait être en classe avec camarades dont les plus jeunes ont moins de 10 ans...

Kanala est une guerrière née. Depuis son enfance, elle a fait mordre la poussière à presque tous ses adversaires. Grande, musclée, déterminée, elle s’est forgée une place auprès de Wura, parmi ses commandants les plus fidèles, à force de hauts faits. Infiltrations, assassinats, missions sans cesse plus risquées, Kanala a le goût du risque, du frisson, du danger. Danger pour sa vie et celle des autres, qu’elle considère au mieux comme des pions, au pire comme des parasites. Et vous en voulez pas savoir ce qu’elle fait aux parasites.

La seule exception à cette mentalité est Wura, son idole, la gloire d’Ijoba et l’ombre de la Lune qui n’attend que l’obscurité la plus parfaite pour se révéler, dévorant de son éclipse l’astre lunaire. Fervente suivante de la cheffe de la Confrérie, elle lui voue son âme et son corps.

Mais le cocktail épicé d’une loyauté exacerbée et d’un goût prononcé pour le danger est rarement positif et c’est à ses 38 déluges qu’elle en a fait les frais.

[On vous propose 2 versions différente de la suite de son histoire, à votre choix, rdv sur sa fiche complète pour en savoir plus !]

S’il fallait donner au concept de réussite un avatar, L?wa en serait l’incarnation parfaite. Née sous la terre, entre les roches d’Arakunrin, elle fit partie des nourrissons qui ont la chance de ne pas avoir perdu leur mère en couches. Au fil des années, ses traits lui firent rapidement connaître une popularité croissante. A double tranchant, ce « don » de beauté fut rapidement considéré comme un danger pour son paternel, qui ne manqua pas de couper régulièrement ses beaux cheveux d’or pâle. A chaque nouvelle contemplation de ses mèches sur le sol de pierre de l’habitation de sa famille, elle jurait que malgré cette perte, personne ne pourrait contester ses charmes.

Ainsi, L?wa travailla sans relâche à parfaire ses masques. Tantôt innocente, fragile et meurtrie devant son père, tantôt belliqueuse et impressionnante face à ses pairs, elle ne laissait aucun répit à ses muscles et s’employait à tous les maîtriser à la perfection.

Naturellement, elle n’échappa pas à l’œil avisé des instructeurs de la Confrérie, qui participèrent à son perfectionnement. Ainsi, elle obtint bien vite son indépendance vis-à-vis de l’autorité paternelle et ne manqua pas de le faire comprendre à ce dernier (l’état de leur relation ne dépend que de toi !). Gravissant les échelons, elle s’éloigna très vite des dangers de l’assassinat ou des infiltrations risquées, cherchant plutôt à collecter des informations par tous les moyens possibles, ce qui lui valut, alors qu’elle brillait du haut de ses 24 déluges, d’être missionnée pour conquérir le cœur d’un membre de la famille d’un Grand Marchant d’Isokan.

L’affaire ne fut pas de tout repos, car le bouge était déjà uni à une autre. La Confrérie lui avait donné 3 ans et les moyens de se forger une identité à Isokan, elle parvint à ses fins avant la date qui aurait sonné le glas de sa carrière. Usant de son intelligence comme de ses atours, elle parvint à charmer sa cible, jetant peu à peu l’épouse de ce dernier dans la honte. Si les mariages polygames sont acceptés, il n’en reste pas moins que pour certaines personnes de bonne famille, voir un parfait étranger prendre sa place est une insulte.

Les deux femmes se vouent ainsi une guerre sans merci depuis quelques années, sans qu’aucune ne renonce à sa place. Malgré ses efforts cependant, L?wa n’est toujours pas l’épouse officielle, mais bien une concubine.

Enfant abandonné à la naissance dans la forêt d'Aisiki et recueilli par un druide du nom d'Ey?rak. Ces enfants recueillis se voient coller le dénominatif d'enfants maudits et sont très mal vus à Aisiki, car selon les plus superstitieux, ils auraient dû servir d'offrandes aux dieux et les recueillir serait comme de retirer lesdites offrandes à leurs dieux vénérés. Ça attire le mauvais œil sur le village à ce qu'il paraît, mais cette affirmation reste toujours à prouver. En général, ces enfants "maudits" en morflent bien socialement parlant car attirant la méfiance du village sur eux au dépit d'une grande bienveillance, et ni Kraìjs ni Tùpka n'ont été des exceptions sur ce point-là.

- Enfance jusqu'à adolescence : LIBRE ? Juste : Kraìjs a toujours été assez doué à la chasse/pêche NATIF || Kraìjs Sh?t-rì?f [LIBRE] 2564603448 À vous de voir ce qu'il fait pendant le tour d'apprentissage après son année commune d'enseignement. Reste-t-il à Aisiki ou souhaite-t-il prendre un peu l'air, loin de cet environnement oppressant quitte à laisser sa petite sœur derrière ? Quoiqu'il en soit, il faudrait qu'il soit de retour à Aisiki vers ses 16-17 ouragans. Pourquoi ? Parce qu'à ses 17 ouragans, une violente dispute éclate entre lui et Ey?rak. À vous de voir de quoi il était question (vous pouvez aussi laisser le mystère si vous le souhaitez), mais il faudra que ce soit un sujet assez lourd, parce que ces deux-là ne s'étaient jamais disputés de la sorte. Note : Kraìjs aura tendance à s'assombrir au fil des années, donc sans doute que ce léger changement dans son tempérament aura joué à la diatribe.

- Suite à cette dispute, Kraìjs quitte définitivement Aisiki pour ne plus y revenir. Probablement.
Il décide de s'installer à Isokan et ses terres agricoles, loin d'Aisiki et ses forêts luxuriantes. Il s'attire les bonnes faveurs d'un Grand Marchand, qui l'aide à avoir une situation stable dans la ville. À vous de voir comment il s'est débrouillé, en sachant que ça ne serait probablement qu'un heureux fruit du hasard qu'il ait croisé ce marchand. A-t-il un talent spécial qui l'aurait démarqué ? A-t-il sauvé la vie de ce marchand ou lui aurait-il enlevé une épine du pied, lui attirant ainsi sa gratitude ? Autre chose ?
Ce n'est pas obligé que cela survienne juste après son installation à Isokan. En tout cas, suite à cela, il vivra en se souciant un peu moins pour le pécule du mois, suivant des cours aux ateliers royaux pour se trouver une voie.

- Cependant, la poisse voudra qu'aucun artisan ne voudra l'embaucher, en tant qu'apprenti ou autre, qu'importe son expérience et ses connaissances. Il travaillera souvent pour des bouchées de pain, arrivant après tous les autres. Puis, si la chasse est son fort, si jamais vous décidez de lui faire tâter de l'agriculture, il est fort probable qu'on découvre en lui l'un des pires agriculteurs jamais connus à Ijoba. La main verte, ça n'est pas donné à tout le monde.

- La fille du Grand Marchand, Vìadii, se prend d'affection pour Kraìjs. Au final il se trouve que les deux bigorneaux développent de l'amour l'un pour l'autre ! Ils deviennent un solide couple et s'apprêtent à s'engager dans une vie marquée par la réussite et le bonhe....
Ah. Oui. Poisse.
C'était donc sans compter sur le décès du Grand Marchand. La désuétude les frappa comme des coups de marteaux dans la gueule. À vous de voir comment la fortune de feu le père disparut, mais ce n'est certainement pas Vìadii, qui aspire aussi à devenir Grande Marchande, ni son amoureux qui en héritèrent.

- C'est donc un peu la galère. Ils vivent dans une petite bicoque et galèrent parfois à joindre les bouts en fin de mois, même si l'amour règne dans leur vie ?

- Kraìjs devient papa à 23 ouragans ! C'est-y pas beau ! C'est une magnifique petite fille, qu'ils nommèrent Rìja. À vous de voir quel Aabo ils lui choisirent (ça va de même pour Kraìjs d'ailleurs).
Sa kleptomanie latente, qui lorsqu'il était môme n'était qu'un jeu où il rendait toujours les effets volés sans jamais se faire prendre ni spécialement soupçonner, ressurgit alors pour subvenir aux besoins des siens. Au début, il le faisait purement consciemment afin d'assurer une existence paisible à son foyer, mais bientôt ça vira pas mal au réflexe. On a besoin d'une nouvelle assiette ? Pop, elle apparaissait après un séjour au marché. Il manque telle herbe aromatique ? Hop, comme c'est magique. Ça en devenait presque automatique. Bien entendu, il n'en parla jamais à sa chérie.

- Puis survint l'Ouragan, trois ans plus tard.
Ey?rak décède sous les décombres de sa maison, à Aisiki. Père et fils ne s'étaient pas adressés un mot depuis leur dispute, Ey?rak n'ayant des nouvelles de Kraìjs qu'uniquement par le biais de Tùpka à qui Kraìjs envoyait régulièrement des lettres (leur père leur a appris tôt à lire et à écrire, ainsi que les vertus des plantes même si ces dernières ne présentent probablement pas une grande "passion" pour Kraìjs).

- Suite à un épisode arrosé de vol d'oranges à Isokan, Kraìjs manque de peu de se faire arrêter par des soldats. Le Grand Prêtre ainsi qu'un jeune homme aux yeux bleus (Karah) assistent à la scène (et y participent dans une moindre mesure). Pour aller à l'essentiel de cette rencontre agrémentée par les lances des soldats : le Grand-Prêtre fournit des lettres de recommandation ainsi qu'une liste d'artisans qu'il connaît bien à Kraìjs et demande grâce pour lui après qu'il ait rendu son bien au marchand volé.
C'est ainsi qu'il devint apprenti bâtisseur, parce que c'est quand même foutrement utile de pouvoir construire et réparer sa maison soi-même. Puis... Avec l'Ouragan, les bâtisseurs ne manquent pas de travail, avec tous les dégâts causés sur les habitations.
Le cycle de la poisse semblait momentanément rompu pour lui.

Allyn naît au sein de la clairière d’Aisiki, parmi le groupe des chasseurs, d’une mère chasseresse (pour qui elle aura toujours de l’admiration) et un père guérisseur ? Elle a une petite sœur sur laquelle elle tente de veiller ? Mort de sa mère vers 10 ans, perte d’un repère/pilier ? Elle suit ses pas en devenant chasseresse à son tour, alors que son père ne supporte pas l’attente de son retour (il ne digère pas la mort de sa douce) ? Curieuse, elle voudrait aller plus loin dans la forêt, et le fait (elle a 17 ans), elle survit à une nuit dans la forêt, mais faillit perdre la vie, elle en garde la trace avec une longue balafre dans le dos. ? Elle tente de rentrer dans le rang, mais sa curiosité est un vilain défaut, seule la présence de sa petite sœur (14 ans) et de son père la maintiennent dans la clairière.

Fils d'un grand et glorieux Protecteur (qui est/était d'ailleurs très bon ami avec le père de Tùpka) ; vous pouvez choisir s'il est encore vivant ou non || Kodow suit la même voie que son père puis l'Ouragan lui abîme la jambe (voir fin premier post histoire de Tùpka pour plus de détails), lui faisant perdre la place d'un des meilleurs chasseurs du village (coup dur), sans pour autant perdre l'appréciation des gens du village || À part ces points, let free your imagination ! Pendant que j'y pense, il n'est pas impossible que Kodow ait une sœur, mais niveau famille et tout j'avoue que je préfère laisser libre ~